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C’est une bonne nouvelle! Un récit de Nelly Latchman, ouvrière de Mission Canada

Red Frogs and Nelly Latchman - 1

Au cours de la semaine d’examen de l’automne 2019, nous avons rencontré un étudiant avec qui nous avons pu cheminer tout au long de l’année.

Mon équipe du réseau de soutien de Red Frogs et moi étions sur le campus à minuit avec du chocolat chaud et des cannes en bonbon afin de redonner de l’énergie aux étudiants qui étudiaient tard pour leurs examens de fin de session, en décembre. Alors que nous nous préparions à tout ranger, il est venu à notre table pour demander ce que nous donnions. Il n’avait jamais bu de chocolat chaud. Après sa première tasse lors de notre première rencontre ce soir-là, il est venu tous les soirs pour le reste de la semaine.

Nous avons appris à le connaître un peu mieux durant cette période, et le dernier soir de la semaine d’examens, il a demandé s’il pouvait nous aider d’une façon quelconque, car ses examens étant terminés, il n’avait rien à faire jusqu’au début du semestre d’hiver, en janvier. Je lui ai dit que nos événements étaient terminés, mais je l’ai invité à un souper de Noël des étudiants internationaux, un événement organisé à Parkwood Gospel Church, l’une de mes églises partenaires, et organisé par un couple de mon équipe du réseau de Red Frogs, Samara et Abel Matthews. Entre le repas de Noël canadien, les jeux, les chants de Noël et les échanges de cadeaux, j’ai partagé l’évangile avec un message sur le vrai sens de la fête de Noël. Non seulement il est venu au souper, mais il a amené un ami et il n’a pas cessé de me remercier de l’avoir invité. Peu de temps après, il m’a demandé s’il pouvait se joindre à l’équipe Red Frogs. J’avais l’impression qu’il était d’arrière-plan hindou, mais je lui ai envoyé les informations pour le prochain événement de formation auquel il a également amené des amis.

J’ai parlé des débuts de Red Frogs, de l’âme du réseau, de son but et des critères pour être membre de l’équipe. Quand j’ai mentionné qu’il fallait être ouvert à une relation de mentorat avec moi et à des conversations sur la foi, au lieu de se retirer comme je m’y attendais, ils ont tous voulu s’inscrire! Il est donc venu pour aider (habituellement en taxi ou en autobus) et alors que nous préparions le calendrier de nos séances de mentorat, la COVID-19 nous a forcés à tout arrêter. Alors, nous avons commencé à faire des appels téléphoniques. Durant le confinement, je prenais des nouvelles de lui et de six autres étudiants d’abord chaque semaine, puis aux deux semaines, et enfin tous les mois. Chaque fois, avant de conclure notre conversation, je lui demandais si je pouvais prier pour lui, et il était toujours heureux de me partager des sujets de prière et de me permettre de prier pour lui. Bien qu’il ne soit peut-être pas encore un disciple de Jésus, à notre dernier appel, il m’a beaucoup remerciée de prendre le temps de prier pour lui et de m’occuper de lui. Il a dit : « Personne n’a jamais fait cela pour moi. C’est difficile d’être seul ici au Canada et sans personne que l’on connaît, alors ça me touche vraiment beaucoup que vous fassiez cela pour moi. » J’ai pu cheminer avec lui durant ses études postsecondaires, car il a fait partie de notre communauté avant de croire, il a rencontré la foi, l’espérance et l’amour, et tout cela grâce à une tasse de chocolat chaud au milieu de la nuit.

Red Frogs and Nelly Latchman - 2

Photos de Nelly Latchman.

#C’estunebonnenouvelle #Bonnenouvelle
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Pour visionner les témoignages « C’est une bonne nouvelle » précédemment postés, cliquez ici.

Pour visionner ou télécharger les vidéos « C’est une bonne nouvelle » postées, visitez www.paoc.org/fr/le-cercle.

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C’est une bonne nouvelle! Un récit de Nelly Latchman, ouvrière de Mission Canada

Red Frogs and Nelly Latchman - 1

Au cours de la semaine d’examen de l’automne 2019, nous avons rencontré un étudiant avec qui nous avons pu cheminer tout au long de l’année.

Mon équipe du réseau de soutien de Red Frogs et moi étions sur le campus à minuit avec du chocolat chaud et des cannes en bonbon afin de redonner de l’énergie aux étudiants qui étudiaient tard pour leurs examens de fin de session, en décembre. Alors que nous nous préparions à tout ranger, il est venu à notre table pour demander ce que nous donnions. Il n’avait jamais bu de chocolat chaud. Après sa première tasse lors de notre première rencontre ce soir-là, il est venu tous les soirs pour le reste de la semaine.

Nous avons appris à le connaître un peu mieux durant cette période, et le dernier soir de la semaine d’examens, il a demandé s’il pouvait nous aider d’une façon quelconque, car ses examens étant terminés, il n’avait rien à faire jusqu’au début du semestre d’hiver, en janvier. Je lui ai dit que nos événements étaient terminés, mais je l’ai invité à un souper de Noël des étudiants internationaux, un événement organisé à Parkwood Gospel Church, l’une de mes églises partenaires, et organisé par un couple de mon équipe du réseau de Red Frogs, Samara et Abel Matthews. Entre le repas de Noël canadien, les jeux, les chants de Noël et les échanges de cadeaux, j’ai partagé l’évangile avec un message sur le vrai sens de la fête de Noël. Non seulement il est venu au souper, mais il a amené un ami et il n’a pas cessé de me remercier de l’avoir invité. Peu de temps après, il m’a demandé s’il pouvait se joindre à l’équipe Red Frogs. J’avais l’impression qu’il était d’arrière-plan hindou, mais je lui ai envoyé les informations pour le prochain événement de formation auquel il a également amené des amis.

J’ai parlé des débuts de Red Frogs, de l’âme du réseau, de son but et des critères pour être membre de l’équipe. Quand j’ai mentionné qu’il fallait être ouvert à une relation de mentorat avec moi et à des conversations sur la foi, au lieu de se retirer comme je m’y attendais, ils ont tous voulu s’inscrire! Il est donc venu pour aider (habituellement en taxi ou en autobus) et alors que nous préparions le calendrier de nos séances de mentorat, la COVID-19 nous a forcés à tout arrêter. Alors, nous avons commencé à faire des appels téléphoniques. Durant le confinement, je prenais des nouvelles de lui et de six autres étudiants d’abord chaque semaine, puis aux deux semaines, et enfin tous les mois. Chaque fois, avant de conclure notre conversation, je lui demandais si je pouvais prier pour lui, et il était toujours heureux de me partager des sujets de prière et de me permettre de prier pour lui. Bien qu’il ne soit peut-être pas encore un disciple de Jésus, à notre dernier appel, il m’a beaucoup remerciée de prendre le temps de prier pour lui et de m’occuper de lui. Il a dit : « Personne n’a jamais fait cela pour moi. C’est difficile d’être seul ici au Canada et sans personne que l’on connaît, alors ça me touche vraiment beaucoup que vous fassiez cela pour moi. » J’ai pu cheminer avec lui durant ses études postsecondaires, car il a fait partie de notre communauté avant de croire, il a rencontré la foi, l’espérance et l’amour, et tout cela grâce à une tasse de chocolat chaud au milieu de la nuit.

Red Frogs and Nelly Latchman - 2

Photos de Nelly Latchman.

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